http://www.arcturius.org/chroniques/?p=29647Le Rituel de la Guérison
Porté à votre conscience par Arcturius,
le 10 avril 2014
« Chers amis,
Le guide nous a demandés de vous faire parvenir une nouvelle parole vivante. Ce message surprenant s’appelle « le rituel de la guérison ». Il est destiné à être lu à haute voix [mais pas à voix forte] pour rétablir «l’ordre à tous les niveaux » et cela « dans les moments difficiles comme à tout autre moment ».
Il a été également précisé, au moment de la transmission, que cette lecture contribuerait à la « guérison du monde », en particulier « si le nombre des lecteurs grandissait ».
Prière transmise par le « groupe Présence »
Je retire ce que j’ai dit.
Je ne suis pas sûr de ce que j’ai dit.
Je me confonds, j’ai peur de m’être trompé, je me suis trompé.
J’ai mal écrit, mal parlé, mal compris, mal entendu.
Le poids du corps, le poids du rêve, le poids de l’ombre, des ténèbres et du monde.
Sans poids, sans mesure, légèreté, absence.
Poids et mesure, lourdeur, présence.
Je répète les mots, je redis les paroles, je reviens en arrière, au début.
Lourdeur, légèreté.
Absence, présence.
Ce sont les cellules qui travaillent, à tous les niveaux, toutes les strates.
Elles réorganisent seules, retrouvent la cohérence dans un système auto référent.
J’ai compris, j’ai vu, j’ai parlé, j’ai entendu.
Depuis l’espace de la peur, je reviens, je reconnais, je retrouve.
Depuis l’espace du doute, je me remets dans la place, je me retrouve dans le rang.
Les portes recommencent à battre. Je tends la main. J’attrape un seau d’ombre.
Je suis blanc. A nouveau, une réorganisation, les neurones, les cellules ensemble.
Réorganisation autonome, autoréférente, autosuffisante.
Je suis. Je comprends. Je recommence à parler.
La pluie glisse sur mon corps. L’ombre glisse sur mon âme.
Rien n’est serré. Les poings ouverts, les pieds nus. Le corps sans tension, aucune crispation.
La vague passe et repasse comme le peigne d’un métier à tisser. Il repasse en rythme et réorganise.
Il remet la couleur dans la trame.
Qu’Il soit, que le monde soit, que l’autre soit.
Ombre et Lumière dans une seule main, pour une seule journée, un seul cœur.
Le cœur bat, cesse de battre, bat à nouveau. Ce qui l’enserre se détend puis se resserre et se détend.
Quelque chose tape, tape dans la neutralité, tape dans la Présence, tape dans la confiance.
Je m’ouvre, je me ferme. Je m’ouvre, je me ferme.
Il tape dans la neutralité. Il tape dans la parole, il tape dans la Présence.
Je m’ouvre, je me ferme. Je m’ouvre. Je m’ouvre. Je m’ouvre. Je m’ouvre.
Le poing traverse et se retire. Il traverse, rien. La main s’ouvre et il n’y a rien.
Portes qui battent, cœur qui bat, corps qui bat le rythme de la Présence, le chant, l’hymne, ce qui chante le nom du Seigneur, les noms de la Mère.
Le rythme revient, toujours le même, ça s’ouvre et ça se ferme. Pulsation, rythmique parfaite.
Ordre parfait.
Les cellules du corps s’auto-réorganisent, à nouveau. Le flux recommence.
Marée haute, marée basse. La lune et le soleil à leurs places. Cela tourne en rythme toujours le même.
C’est le rythme qui guérit et nous replace dans l’ouverture, qui nous offre sa neutralité, sa fondation.
Entendre le rythme Divin, qui donne naissance, vie, qui passe et fait passer.
Un coup de gong et un autre, puis un autre, sans jamais s’arrêter.
Le rythme frappe, tape.
Le bien, le mal, le juste, le faux, le méchant, le bon. Tous et tout dans le rythme divin.
Chanter, chanter toujours la parole.
Le rythme est le secret. Le rythme du message. Le rythme de ce que j’entends, de ce que je dis.
Je guéris si je donne le rythme, si je suis le rythme, toujours pareil. La cadence, le don.
Reprendre, donner. Reprendre, donner. Donner, donner, donner. Toujours.
Trouve le rythme en toi. Trouve la cadence. Trouve un tempo. Toujours identique.
Elle n’a pas créé le monde par un souffle mais par un battement, un rythme.
Elle a créé le monde en frappant avec le pied, en cadence, toujours pareil. Toujours parfait.
Il faut qu’ils entendent le rythme, la Parole. Pas de mots, pas de conseils, pas de consolation.
Les malades, les grands blessés, les enfants, le même rythme, le même battement.
Le même fondement.
J’écoute, je m’ouvre, je me ferme, je m’ouvre, je me ferme.
Le rythme du monde. Le jour, la nuit. Cela ne peut s’arrêter. Toujours pareil.
Je suis debout, je m’assois, je me couche, je me relève.
Le rythme, la vie, le battement.
Prière reçue en canalisation par le GROUPE PRESENCE – Le Bosc Gros – 46170 St Paul-de-Loubressac
copyright © Max PELMARD – Atelier « Retour à la Lumière »
© 2014, Recherche et transmission par Michel / Arcturius.
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